Thursday, November 15, 2012

Les réfugiés des mafiosi chope-sièges

En échappant la tempête, les marins se débarquèrent à la bibliothèque centrale, où il n'y avait plus aucun de mafiosi chope-sièges d'Uville. -Il rétourne- exclamèrent-ils -notre repos; nous bûcherons sans souci !- Et puis aussitôt quelqu'un déterra un gisement de riz vietnamien, si doucement cuisiné et si forcement délicieux. Ils y resteraient quatre semaines.